Ziggy Stardust
par Léonie PernetBonus !
Dans le cadre du temps fort BISOU, Le Théâtre d’Angoulême et La Nef vous proposent de poursuivre votre soirée à la Nef. Une navette gratuite vous amène sur le lieu, retour au centre ville à 2h.
Acid Arab Live
Maraboutage
KOKOKO!
Blind Test« Let The Music Play »
Vendredi 10 novembre à 20h30
(Début du concert à 21h)
Plus d’infos…
Chanteuse, compositrice, multi-instrumentiste, à 34 ans Léonie Pernet est une figure bien connue de la scène électro-pop. Dans son nouveau projet, elle revisite à sa façon un album culte de Bowie, Ziggy Stardust.
Percussionniste classique dès son plus jeune âge, multi-instrumentiste aventureuse depuis toujours, Léonie Pernet aime les expériences et le mélange des genres. DJ, elle croise Christiane Taubira avec Scratch Massive, puis métisse son électro-pop onirique de percussions africaines et de teintes cuivrées. Aujourd’hui, la touche-à-tout se lance dans un nouveau projet : revisiter un album iconique de David Bowie, The Rise and Fall of Ziggy Stardust and the Spiders from Mars, paru en 1972. « Étant quasiment vierge du mythe Ziggy Stardust de Bowie, j’ai abordé l’album assez insolemment. Je ne voulais surtout pas faire la bonne élève », a confié l’artiste aux Inrockuptibles.
Son scénario nous projette en 2033, alors que l’humanité n’a plus que cinq ans à vivre. Extraterrestre non binaire, « Léonie Stardust » est partie se réfugier au Niger, mais revient pour porter un message d’espoir… Livrant une réinvention rétrofuturiste, voire afrofuturiste du chef d’œuvre de Bowie, l’artiste iconoclaste nous fait redécouvrir sa magie, instillant ici des percussions orientales, mettant là en avant un piano acoustique ou un violon, et retrouvant cet équilibre d’exigence, d’audace et d’immédiateté propre à l’œuvre originale.
Avec Léonie Pernet et Jean Sylvain le Gouic (basse, synthétiseurs), Yovan Girard (violon, synthétiseur)
D’après Ziggy Stardust de David Bowie
Une création du printemps de Bourges
« Léonie Pernet mélange les genres et les influences, l’intime et l’universel, avec une aisance insolente. » Les Inrocks