Kinga Glyk
real LifeC’est la jeune artiste qui subjugue les amoureux de cet instrument mythique qu’est la basse. Avec une présence scénique irrésistible, Kinga Głyk dispense un jazz-rock gorgé de groove et de fusion qui électrise. À découvrir d’urgence !
Les femmes bassistes de jazz ne sont pas très nombreuses, c’est le moins que l’on puisse dire, mais l’une d’entre elles fait beaucoup parler : Kinga Glyk ! Et pas seulement pour son émouvante reprise de Tears in Heaven d’Eric Clapton, visionnée plus de trois millions de fois sur YouTube. À vingt-sept ans, la bassiste et compositrice polonaise a déjà derrière elle quinze années de carrière – fille de vibraphoniste, elle a commencé à douze ans au sein du groupe familial, le trio Głyk P.I.K. – et elle jouit d’une belle réputation dans le monde du jazz. Il faut dire qu’elle fait preuve d’une impressionnante maîtrise de son instrument, qu’elle fait sonner avec une expressivité à tomber par terre, et que son aisance sur scène électrise littéralement le public lors de concerts mémorables !
À Angoulême, Kinga Glyk viendra entourée de musiciens réputés dans la sphère du funk ou du R’n’B pour défendre Real Life, son (déjà) cinquième opus. Douze titres très groovy, à la tonalité jazz-rock nappée de synthés en fusion, dans lesquels, avec une virtuosité et une liberté inégalées, elle laisse sa basse raconter des histoires sensibles et nuancées. Un cocktail flamboyant qu’elle maîtrise à la perfection. À consommer sans modération !
« Rares sont les talents aussi remarquables que Kinga Głyk,
jeune prodige de la basse électrique. » Rolling Stone
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© Peter-Honnemann